The dragon is back !

Découverte du matin : "Apaiser le dragon : vivre avec la polyarthrite en dépit des grands spécialistes" est de retour dans le top 100 Amazon, catégorie "médecines douces", à la 18ème place :) il se classe aussi dans la catégorie "cours universitaires", ce que je ne m'explique guère mais bon !

Akène... get no satisfaction : les définitions de l'impossible, suite !

En pleine description d'une bataille, je cherchais une image pour évoquer quelque chose qui s'envolerait comme les petits trucs blancs d'un pissenlit. Du coup, je me suis demandé comment ils se nommaient, ces trucs blancs. Ce sont des akènes, figurez-vous. Et la définition vaut le détour :

 "En botanique un akène est un fruit sec, indéhiscent, à graine unique, dont le péricarpe, plus ou moins sclérifié, n'est pas soudé à la graine (à la différence du caryopse). L'akène résulte de la transformation d'un carpelle unique ou multiple (diakènes, polyakènes)." 

C'est tout de suite plus clair, non ?!!

Nous sommes comblés !

Décidément, à chaque jour sa perle ! Que dis-je, ses perles, car j'ai deux belles innovations à vous rapporter aujourd'hui. La première émane du journal télé (13h ou 20h, je ne sais plus : les deux, probablement !), durant lequel mes oreilles ont été enchantées par cette expression : "Une quarantaine de 14 jours".... alors je ne sais pas vous, mais moi, dans "quarantaine", j'entends comme une durée sous-jacente, non ? Et oui : une quarantaine, c'est 40 jours ! D'où l'emploi judicieux de "quatorzaine" qui s'est développé récemment, face à la pandémie de Covid-19.

La seconde nouveauté est encore meilleure : j'ai reçu un mail d'un "rétro-voyant" ! Si ! Ce matin même, j'ai trouvé dans ma boîte mail un texte m'annonçant ceci : "quelque chose de merveilleux va se produire dans votre vie durant le premier trimestre 2020" !!! Alors là, c'est fort ! Il faut du courage pour prédire le passé (cette expression est problématique, bien sûr : "lire le passé" correspondrait mieux) ! Ah ben si, car, contrairement à ceux qui conjecturent l'avenir, là on sait tout de suite si le voyant dit vrai ou non ! Bon, là il s'est trompé, mais chapeau l'artiste ! 

Un beau retour de lecture

Je viens de tomber sur un commentaire posté sur Booknode, concernant Le rempart de jade, second volume de la Saga de Soren Dajymo. Le voici : 


Après une premier tome très apprécié, c'est avec plaisir que je me suis lancée dans la lecture du second. Je n'ai pas été déçue! Je plains toujours un peu plus le pauvre Soren, mais ses péripéties sont si finement élaborées que j'en redemande ^^'
Je dois avouer avoir été choquée par certains évènements. Je sais que je ne dois pas m'attacher à tous les personnages mais je ne m'attendais vraiment pas à ça. Mais bon, c'est l'auteur qui décide et paradoxalement la surprise n'en est que plus intéressante.
Un vrai bon moment de lecture et il me tarde de voir la suite.

Alors ça, voyez-vous, ça fait la journée d'un auteur. Ce commentaire m'a d'autant plus touché que je n'ai eu que peu de retours sur le second volume (hormis le fait qu'il est très différent du premier, lequel est presque plus policier que Fantasy) : donc, chère lectrice inconnue, merci du fond du coeur :) 

Vous pouvez trouver tous mes écrits en suivant ce lien : https://www.amazon.fr/Jos%25C3%25A9-Raymond/e/B0084FC7CC%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_share

 

Des exigences "mythiques"...

On peut trouver matière à rire partout autour de nous, même là où l'on ne s'y attend pas. En parcourant une annonce sur un site de rencontres (et oui, il faut vivre avec son temps...), je suis tombé, après une liste d'exigences assez longue au demeurant (et lourde de lieux communs du type : "J'aime la franchise, je n'apprécie pas les mensonges"), sur cette phrase fantastique : "J'en l'aime pas les fautes d'orthographe."(SIC), qui a fait mon bonheur. 

Cela m'a fait penser à l'un de ces puristes du Seigneur des Anneaux rencontré dans une soirée, qui conspuait les films de Peter Jackson et qui m'avait demandé : "Ils s’appellent comment, déjà, les éleveurs de chevaux ?"

Bref, dans les deux cas, des spécialistes d'un sujet qu'ils ne maîtrisent visiblement pas. Ils me font penser au doyen de la faculté ("qui ne les avait plus depuis longtemps, lui, ses facultés") dont parlait Coluche : "Le gars nous vendait de l'intelligence, il n'avait pas un échantillon sur lui !" 😂

Le malade imaginaire ?

Ce matin, j'ai vu que mon livre "Apaiser le dragon : vivre avec la polyarthrite rhumatoïde en dépit des grands spécialistes" était de nouveau classé dans le top 100 Amazon (34ème) dans la catégorie "médecines douces" et, bien plus étonnant, 72ème dans celle des "cours universitaires" ! Je me demande bien comment il est arrivé là ! Sinon, si je suis bien sûr content que ce livre soit lu (c'est de loin celui de mes ouvrages qui se vend le mieux, désormais), ce n'est pas sans tristesse que je constate que la maladie est plus présente à nos esprits que l'imaginaire...

Notre ancrage toujours plus profond dans la société de consommation nuirait-il à notre capacité d'abstraction ? "Avoir" nous empêcherait-il d' "être" ? Ou, pire encore, de rêver ?