dimanche 21 octobre 2012

Bilan du salon de Saint-Laurent-sur-Saône

D'un bout à l'autre, ce salon n'aura été qu'une suite de joies, un ravissement continuel : un accueil chaleureux, une organisation au cordeau, des voisins sympathiques, une fréquentation satisfaisante, etc. Que demander de plus ? Et pourtant, il y a eu plus ! Si !
D'abord, des rencontres, avec des collègues (notamment Jean-François Perret, auteur de "La faille du temps", avec lequel je partage le goût de l'archéologie), avec des artistes (dont Hervé Nègre, photographe de renom dont la discussion est fascinante), avec les visiteurs du salon, bien évidemment. Parmi ces derniers, j'adresse un merci particulier à ceux, nombreux, qui ont franchi le pas et ont acquis mon livre : j'aime à voir mon travail vivre et respirer entre d'autres mains.
Ensuite, je voudrais faire une dédicace toute particulière à la jeune et enthousiaste Séréna, auteur en devenir, qui s'est démenée contre vents et marées afin de pouvoir acquérir mon livre, simplement parce qu'elle avait été touchée, "dès la couverture", m'a-t-elle dit. Or, moi qui ai pensé (et en grande partie conçu) cette dernière afin qu'elle transmette une idée de son contenu (loin des barbares musclés aux pieds desquels des pin-ups dénudées s'étirent lascivement), je ne pouvais qu'être touché en retour par cette sensibilité. J'ajoute : merci pour la fleur :) (elle comprendra !)
Enfin, j'ai eu le grand plaisir d'avoir la visite d'un agent littéraire, qui m'a proposé de se pencher sur mon cas, histoire de voir si, sait-on jamais, il y avait matière à collaboration, afin de permettre aux aventures de Soren d'atteindre enfin une dimension nationale et de permettre à la suite de voir (enfin !) le jour : je sais que vous êtes nombreux à l'attendre^^.
Je ne manquerai pas de vous tenir au courant, bien évidemment.
En bref : youpi.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Salut José, Ce salon était une belle occasion de rencontrer un passionné d'archéologie comme toi. J'ai apprécié nos nombreux moments de discussion. Toute mon amitié.
Jean-François Perret